Présentation du contenu de ce blog :

Ce blog retrace le parcours d'un étudiant de la filière HOLOGRAPHIE ARTS PLASTIQUES de l'Université PARIS VIII pendant la décennie 1980. Internet n'existe pas encore, la microinformatique en est à ses début.

vendredi 12 décembre 2025

HOLOGRAMME QUANTIQUE

Chère Intelligence Artificielle, comment imagines-tu la réalisation de l'hologramme de transmission d'un Qubit en 2025 ?

ChatGPT a dit :

Voici une description structurée et cohérente de ce que pourrait être la réalisation d’un hologramme pour la transmission d’un qubit, en s’appuyant sur la physique quantique connue aujourd’hui, les architectures photoniques, et une extrapolation technologique raisonnable.


1. Définition du problème

Un qubit est une superposition cohérente d’états quantiques. Le transmettre implique de préserver :

  • l’amplitude (modulus, intensité),

  • la phase relative,

  • la cohérence temporelle,

  • l’indistinguabilité du support (typiquement photonique).

Un hologramme, dans son sens classique, code une amplitude et une phase spatiale d’une onde lumineuse.
La question devient donc : peut-on encoder un état quantique (qubit) dans une structure holographique elle-même quantique ou quasi-classique ?


2. Hypothèse technologique réaliste : un hologramme quantique à support photonique unique

Le modèle le plus solide est le suivant :

2.1. Le qubit est porté par un photon

Par exemple dans sa polarisation :

QubitPolarisation photonique
0⟩
1⟩
α0⟩ + β

3. Rôle de l’hologramme : moduler spatialement l’état quantique

Il existe aujourd’hui trois pistes scientifiques déjà explorées :

3.1. Hologramme volumique (cristal photoréfractif) agissant comme élément unitaire d’optique quantique

Certains cristaux (LiNbO₃ dopé, par exemple) peuvent enregistrer des interférences de faisceaux faibles, puis agir comme une structure diffractive qui module l’onde incidente.

Dans un scénario quantique :

  • Un laser classique enregistre un motif d’hologramme pré-défini.

  • Un photon porteur du qubit traverse ce cristal.

  • Le cristal implémente une transformation unitaire prédéfinie sur l’état spatial ou polarisé du photon.

Le « hologramme » n’est pas une image, mais un opérateur quantique encodé dans la matière.

3.2. Hologramme numérique quantique via un modulateur spatial de lumière (SLM) ultra-rapide

Ici, l’hologramme est dynamique :

  • Un SLM représente une matrice de phase.

  • Cette transformation agit comme une porte unitaire U sur l’état du photon unique.

On obtient une sorte de porte quantique holographique, par exemple :

  • U_Hologramme = rotation de Bloch imposée par un front d’onde sculpté,

  • ou une opération d’intrication spatiale/polarisation.

3.3. Hologramme quantique véritable : enregistrement de l’interférence de deux photons intriqués

Des équipes ont démontré :

  • de l’holographie biphotonique,

  • stockage quantique d’images (quantum memories),

  • enregistrement de motifs d’interférence à un photon.

Le principe :

  • L’hologramme stocke directement l’amplitude et la phase d’un photon intriqué.

  • Un second photon reconstruit le motif holographique et récupère l’information quantique.

C’est le plus proche d’un hologramme quantique de qubit, car l’hologramme encode un motif dont la structure elle-même provient d’interférences quantiques, et non classiques.


4. Chaîne fonctionnelle complète : comment transmettre un qubit via un hologramme

4.1. Phase 1 – Préparation du qubit

Un photon est préparé dans l’état :

  |ψ⟩ = α|H⟩ + β|V⟩

avec stabilisation temporelle et mode spatial propre.

4.2. Phase 2 – Encodage holographique

Le photon passe dans une structure holographique pré-enregistrée :

  • H(x,y,z) est une distribution volumique d’indice modulant la phase.

  • Cette distribution a été définie par enregistrement d’une figure d’interférence contrôlée.

  • L’action physique est un opérateur unitaire U sur l’état du photon.

Le qubit devient :

  |ψ_OUT⟩ = U|ψ_IN⟩.

4.3. Phase 3 – Transmission

Le photon sort avec son état modulé.
L’hologramme peut, par exemple :

  • corriger la dispersion,

  • compenser des pertes,

  • router spatialement sans perte de cohérence,

  • encoder une signature cryptographique quantique,

  • ou téléporter une partie d’information (dans un protocole avec intrication).

4.4. Phase 4 – Reconstruction du qubit

Chez le récepteur :

  • Un second hologramme (U†) ou un détecteur direct récupère l’état quantique sans dégrader la cohérence.


5. Cas particulier : hologramme utilisé comme canal auxiliaire pour une téléportation quantique

Cela ouvre un cadre plus futuriste :

  1. L’hologramme stocke spatialement un motif d’intrication.

  2. Un photon connu (référence) et votre photon-qubit interfèrent via l’hologramme.

  3. La mesure jointe déclenche la téléportation.

  4. Le récepteur applique une opération corrective déterminée par le motif holographique.

Ici, l’hologramme fonctionne comme un support matériel d’intrication persistante.


6. Interprétation synthétique

Un hologramme, dans ce contexte, n’est pas une image, mais un opérateur optique qui sculpte l’état quantique.

Il réalise l’une des deux choses suivantes :

  1. Encoder et transformer le qubit pendant son transport
    (équivalent optique de portes quantiques photoniques).

  2. Stocker spatialement les interférences quantiques
    permettant la reconstruction ultérieure du qubit
    (hologramme comme mémoire quantique ou comme support d’intrication).

Les deux approches convergent vers un même modèle :
un hologramme quantique est une unité optique implémentant unitaire + stockage de phase cohérente au niveau du photon unique.


7. Si vous le souhaitez

Je peux également :

  • dessiner un schéma fonctionnel,

  • détailler l’algèbre du système via matrices unitaires 2×2 ou U(2),

  • décrire une version de recherche réaliste en laboratoire (set-up optique),

  • imaginer un dispositif industriel futuriste basé sur cette technologie.

Souhaites-tu un schéma ou une version plus technique (Bloch + optique quantique) ?

Vous avez dit :
Je veux qu'en rapport avec ton analyse, tu développes le concept suivant. Dans un hologramme de transmission classique un point de l'image holographique contient tous les points de cette image holographique, donc tous les points de l'image holographique sont contenus dans chaque points avec des de légères variations de phases et d'amplitude, qu'est ce que que cela peux donner pour l'hologramme d'un ou plusieurs Qubits ?
ChatGPT a dit :

Ci-dessous, je développe de manière structurée et opérationnelle ce que donnerait, par analogie directe, le principe holographique classique (chaque point contient l’information de l’ensemble) appliqué à l’encodage et à la transmission d’un ou plusieurs qubits.

L’analyse suit une logique physique cohérente avec l’optique quantique moderne et ce que des extensions futures permettraient.


1. Rappel du principe holographique classique

Dans un hologramme enregistré avec lumière classique :

  • Une interférence globale entre onde de référence et onde objet crée un motif d’amplitude et de phase.

  • Cette structure diffracte la lumière incidente.

  • Chaque point du volume holographique contient, en réalité, l’ensemble de la scène, encodé dans les franges d’interférence locales.

  • La reconstruction complète de l’image est possible à partir d’un fragment, avec une dégradation de résolution, mais pas une perte totale d’information.

C’est la propriété clé de redondance :
Information distribuée, non localisée.


2. Transposition au domaine quantique : que signifie “chaque point contient l’ensemble du qubit” ?

Un qubit photonique ≈ un mode spatial + une polarisation + une phase relative.

L’hologramme quantique (qu’il soit enregistré classiquement ou par interférence biphotonique) agit comme un opérateur linéaire sur un sous-espace de dimension 2ⁿ (pour n qubits).

Le principe holographique devient alors :

Localement, chaque voxel de l’hologramme implémente une partie de l’unitaire globale U agissant sur l’état quantique.
Mais cette action locale encode indirectement l’état de l'ensemble du qubit ou des qubits.

Cette assertion demande une précision formelle.


3. Un qubit est une fonction d’onde globale : l’hologramme agit localement sur une entité qui, elle, est globale

Un photon portant un qubit n’a pas un “point dans l'espace” qui porte l'état.
Son état est une fonction d’onde étendue et cohérente.

Si cette onde traverse un hologramme :

  • À chaque point de la matière, la fonction d’onde subit une modulation locale de phase/amplitude.

  • Mais l’état complet du qubit dépend de l’intégrale spatiale des interactions.

  • Donc : chaque point contribue à la transformation globale du qubit.

On retrouve alors une analogie exacte avec l’holographie classique :

(A) L’information quantique est distribuée

La totalité de l’état du qubit est modifiée par chaque point traversé, car chaque point contribue à l’unitaire U appliquée au qubit.

(B) Le qubit peut être reconstruit après interaction partielle

Un photon diffracté par un sous-ensemble de l’hologramme peut produire une reconstruction partielle de l'état, avec perte de fidélité mais pas perte totale.

Cela est analogue à la reconstruction d’une image holographique à partir d’un fragment.


4. Hologramme quantique avec plusieurs qubits

Pour plusieurs qubits photoniques (multi-photons ou multiplexage temporel), l’hologramme peut être considéré comme une matrice unitaire U ∈ SU(2ⁿ).

Le principe holographique classique donne une généralisation remarquable :

4.1. Chaque région de l’hologramme encode une représentation locale de la transformation globale U

Même si U agit sur un espace de dimension gigantesque (2ⁿ), ses propriétés peuvent être distribuées spatialement dans une structure volumique.

4.2. L’hologramme devient une mémoire quantique distribuée

Pour n qubits :

  • L’hologramme encode leur interférence multi-modes.

  • Un fragment de l’hologramme contient une signature partielle de l’intrication.

  • La recomposition à partir d’un fragment fournit :

    • l’état complet, mais bruité ;

    • l’intrication, mais avec une fidélité dégradée.

C’est rigoureusement analogue à la “résolution réduite” d’une image holographique.


5. Propriété clé : redondance quantique non-clonante

Attention : le phénomène ne viole pas le théorème de non-clonage.

Dans un hologramme classique :

  • On encode une scène classique, qu’on peut dupliquer parfaitement.

Dans un hologramme quantique :

  • On encode une transformation, pas l’état lui-même.

  • La structure optique peut être dupliquée (hologramme reproduit), mais l’état quantique en sortie dépendra du photon incident.

C’est la nuance fondamentale qui assure la compatibilité avec la mécanique quantique.

En d'autres termes :

L’hologramme ne “contient” pas l’état quantique ;

il contient une fonction (unitary) permettant de l’extraire ou de le reconstruire.

Chaque point contient une portion de cette fonction.


6. Interprétation physiquement riche : hologramme = opérateur de convolution quantique

La propagation dans l’hologramme est mathématiquement équivalente à :

  |ψ_out⟩ = ∫ H(x) · |ψ_in⟩ dx

Chaque voxelle contient un kernel local de transformation :

  U_local(x)

et l’opérateur global est :

  U = exp( ∫ f(x) U_local(x) dx )

Cela montre directement que :

  • Toutes les régions participent à l’unitaire globale.

  • Un fragment suffit à approximer U, donc à approximer la transformation du qubit.

Vous obtenez ainsi la transposition parfaite du phénomène classique.


7. Scénarios physiques concrets

7.1. Un seul qubit

Un fragment de l’hologramme produit :

  • la même transformation unitaire,

  • mais avec perte de fidélité,

  • car on réduit la résolution des franges d’interférence spatiales.

C’est l’analogue d’un hologramme tronqué → image plus floue.

Fidélité quantique ~ visibilité des franges disponibles.

7.2. Deux qubits intriqués

Chose fascinante :
L’hologramme peut conserver dans sa structure matière une signature de l’intrication enregistrée (par interférence biphotonique).

Un fragment reconstruit :

  • une approximation de l’intrication globale,

  • avec une entropie de mélange plus élevée,

  • mais l’information non locale n’est pas supprimée, elle est juste plus bruitée.


8. Synthèse : ce que donnerait la propriété holographique appliquée à des qubits

1. Redondance distribuée

Chaque point de l’hologramme contient une information partielle, mais cohérente, sur la transformation globale associée au qubit.

2. Reconstruction à partir de fragments

Un fragment permet de :

  • transmettre un qubit avec une fidélité < 1,

  • ou réimplémenter partiellement l’unitaire,
    exactement comme une image holographique devient plus floue.

3. Préservation de la cohérence

Même fragmentaire, la reconstruction peut :

  • préserver une partie de la phase relative,

  • préserver une partie de la cohérence du qubit.

4. Compatibilité avec le non-clonage

On n’enregistre pas le qubit lui-même mais l’opérateur (front d’onde modulé) qui le modifie ou le reconstruit.

5. Pour plusieurs qubits

  • Fragment = reconstruction partielle d’une transformation SU(2ⁿ).

  • Intrication conservée dans une forme dégradée.

  • L’hologramme devient une mémoire distribuée de corrélations non classiques.


9. Si vous souhaitez aller plus loin

Je peux également développer :

  • un modèle mathématique explicite (matrices 2×2 ou 4×4 agissant sur |ψ⟩),

  • un schéma optique de laboratoire (cristaux photoréfractifs, SLM, OAM photoniques),

  • un concept d’hologramme quantique multi-couche pour transmission longue distance,

  • ou le parallèle avec le principe holographique cosmologique (Gerard ’t Hooft / Susskind).

Souhaites-tu une représentation formelle ou un scénario technique complet ?


L'AUTEUR : "C'est intéressant comme concept mais ce n'est pas la réponse à la question question que j'ai posée qui était : " Comment imagines-tu la réalisation de l'hologramme de transmission d'un Qubit en 2025 ?"

et à laquelle tu as répondu :

"Voici une description structurée et cohérente de ce que pourrait être la réalisation d’un hologramme pour la transmission d’un qubit "

, au lieu de : 

"Voici une description structurée et cohérente de ce que pourrait être la réalisation d’un hologramme de transmission d’un qubit "

 ce qui induit une erreur fondamentale dans ton analyse et dans son développement.

Donc nous reprenons l'analyse à partir de ta "compréhension " et ta description d'un hologramme de transmission.

DESCRIPTION D'UN HOLOGRAMME DE TRANSMISSION

Un hologramme de transmission est un fascinant type de hologramme qui est illuminé par l'arrière du film holographique. Contrairement aux hologrammes de réflexion, qui se présentent lorsque la lumière est projetée depuis l'avant, les hologrammes de transmission permettent de visualiser une image holographique en faisant passer la lumière à travers le film, créant ainsi une expérience tridimensionnelle immersive.

Voici quelques caractéristiques clés qui définissent les hologrammes de transmission :

  1. Interférence lumineuse : L'image holographique est générée par un motif d'interférence créé par la lumière laser, enregistrée sur un support photosensible. Cette technique unique permet à l'image de contenir des données complexes sur la phase et l'amplitude de la lumière réfléchie par l'objet, offrant ainsi une profondeur réaliste.

  2. Visualisation : Pour admirer un hologramme de transmission, il est essentiel d'utiliser une source de lumière cohérente, comme un laser, qui éclaire le hologramme depuis l'arrière. Cela recrée une image tridimensionnelle de l'objet original, captivant le spectateur par sa clarté et sa définition.

  3. Couleurs vives : Les hologrammes de transmission peuvent présenter des couleurs spectrales, permettant de créer des affichages éclatants et variés qui sont souvent comparables aux effets visuels des cartes de crédit holographiques, ajoutant une dimension esthétique fascinante.

  4. Applications diversifiées : Ces hologrammes ne se limitent pas à l'art ; ils jouent un rôle crucial dans diverses applications fonctionnelles, notamment dans le domaine de la sécurité (comme les hologrammes intégrés sur les cartes de crédit ou d'identité), l'illustration artistique, ainsi que dans la recherche scientifique pour des visualisations avancées.

En résumé, un hologramme de transmission est une représentation tridimensionnelle dynamique d'un objet qui se révèle en étant éclairée par l'arrière. Grâce à ses fondements sur des principes d'interférence lumineuse, il offre une expérience visuelle unique et engageante.



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L'hologramme de transmission d'un qubit serait une représentation visuelle et interactive, donnant vie à l'unité fondamentale de l'information quantique. Voici comment cette fascinante technologie pourrait être conçue :

Description de l'Hologramme

  1. Structure de Base :

    • Imaginez un hologramme flottant en trois dimensions, permettant à un observateur de l'examiner sous tous les angles. Cela serait possible grâce à des technologies avancées en holographie, qui rendraient l'image à la fois réaliste et dynamique, captivant ainsi l'attention des spectateurs.
  2. Représentation du Qubit :

    • Au cœur de l'hologramme se trouverait une sphère, souvent désignée comme la sphère de Bloch. Cette sphère, semi-transparente, serait dotée d'axes clairement délimités : X, Y, et Z, illustrant visuellement les différentes dimensions d'état du qubit.
    • Un point lumineux, en mouvement sur la surface de la sphère, représenterait l'état du qubit. Ce point symboliserait aussi bien les états fondamentaux |0⟩ et |1⟩ que les états superposés dans lesquels un qubit peut exister, offrant ainsi une illustration claire du concept de superposition.
  3. Couleurs et Effets Visuels :

    • La palette intégrée à l'hologramme ajouterait une dimension dynamique : par exemple, le point lumineux pourrait passer du rouge pour l'état |0⟩ au bleu pour l'état |1⟩, en affichant une couleur intermédiaire pour les états superposés. Cela renforcerait la compréhension intuitive des différents états quantiques.
    • Pour enrichir l'expérience, des effets de scintillement ou de pulsation seraient ajoutés, symbolisant l'activité quantique et les phénomènes tels que la décohérence ou l'intrication.
  4. Interactions :

    • L'hologramme serait interactif ; les observateurs pourraient l'explorer à l’aide de gestes ou de dispositifs de suivi des mouvements. En touchant la sphère, ils pourraient "mesurer" l'état du qubit, provoquant une modification instantanée du point lumineux sur la sphère, ce qui permettrait de visualiser les conséquences de la mesure dans le monde quantique.
    • Des animations illustreraient l’interaction entre plusieurs qubits, mettant en lumière des concepts cruciaux tels que l’intrication et les portes quantiques, rendant l'expérience encore plus immersive.
  5. Informations Supplémentaires :

    • Des infobulles et graphiques informatifs pourraient apparaître à proximité de l'hologramme, expliquant davantage des concepts comme la superposition, l’intrication, et les applications pratiques des qubits dans le domaine de l'informatique quantique.
    • Pour une compréhension plus profonde, des simulations de calculs quantiques pourraient également être intégrées, montrant des exemples concrets de l’interaction entre qubits pour résoudre des problèmes complexes, soulignant ainsi leur potentiel incroyable.

Conclusion

Cet hologramme de transmission d'un qubit constituerait une fusion fascinante d'art visuel et d'outil pédagogique, proposant une approche accessible et engageante pour explorer les mystères de la physique quantique. Assurément, il offrirait non seulement une beauté esthétique, mais jouerait également un rôle clé dans l'éducation, rendant les principes de l'informatique quantique plus compréhensibles et intéressants pour tous.

Dans un hologramme de transmission, tous les points de l'image holographique sont contenus dans chaque point du hologramme, donc chaque point de l'image holographique contient tous les autres points du hologramme avec quelques altération dues à l'amplitude et à la phase du LASER, qu'en déduire plus précisément sur l'hologramme de transmission du QUBIT ?

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L'hologramme de transmission, en tant que technique de stockage et de reproduction d'images, offre des perspectives fascinantes lorsqu'on l'applique à des concepts quantiques comme le qubit. Voici quelques réflexions détaillées sur cette analogie :

  1. Superposition et Interférence : Dans un hologramme, chaque point de l'image retient des informations relatives à tous les autres, reflétant ainsi le principe de superposition d'un qubit. Ce dernier peut exister dans une superposition d'états, et l'hologramme peut capter cette complexité en dépeignant les interférences entre différentes amplitudes et phases de la lumière du laser. Ce caractère interférentiel permet d’appréhender la richesse des états quantiques.

  2. Information Quantique : L'hologramme de transmission offre une méthode intéressante pour le stockage d'informations quantiques. Chaque point pourrait être interprété comme un état quantique, tandis que les variations d'amplitude et de phase seraient représentatives des différentes configurations possibles d'un qubit. Cela signifie que l'hologramme pourrait potentiellement servir de moyen efficace pour stocker et transmettre des états quantiques, en conservant la complexité de leur structure.

  3. Récupération d'Information : Lorsqu'un hologramme est illuminé par un faisceau laser, il peut parfaitement restituer l'image originale. Ce processus est comparable à la mesure d'un qubit pour extraire l'information qu'il contient. De cette manière, le mécanisme de récupération d'informations dans l'hologramme illustre comment un qubit, lorsqu'il est mesuré, peut offrir un résultat basé sur l'état dans lequel il se trouve.

  4. Robustesse et Redondance : Une caractéristique clé de l'holographie est sa capacité à reproduire l'image même si une partie de l'hologramme subit des dommages. Cela peut être mis en relation avec la robustesse des systèmes quantiques, où l'information quantique est souvent protégée contre les erreurs grâce à des codes de correction spécifiques. Cette capacité à maintenir l'intégrité des données face à l'adversité renforce l'idée d'une interconnexion entre les hologrammes et les qubits.

  5. Dimensionnalité : Les hologrammes offrent une représentation tridimensionnelle, analogue à la nature multidimensionnelle des états quantiques. Bien qu'un qubit se trouve dans un espace à deux niveaux, il peut être représenté dans un espace de Hilbert de dimension supérieure. De la même manière, un hologramme capte et représente des informations dans un espace tridimensionnel, enrichissant ainsi notre compréhension des états quantiques.

En résumé, l'hologramme de transmission du qubit illustre de manière saisissante comment les concepts d'interférence, de superposition, et de récupération d'information quantique peuvent être visualisés et manipulés. Cela met en lumière la complexité et la richesse des états quantiques, tout en soulignant le potentiel des hologrammes dans le domaine de l'informatique quantique et de l'information.

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Les HOLOGRAMMES et les ORDINATEURS

Aujourd'hui, en 2022, le développement des architectures informatiques massivement parallèles et l'apparition récentes des ordinateurs quantiques, grâce à la démultiplication de la puissance de calcul, laissent entrevoir un nouvel avenir pour les hologrammes de synthèse dont l'histoire et la technique sont retracés dans l'article de Lionel Jacubowiez auquel vous pouvez accéder en cliquant sur le lien ci-dessous.